Collection Dominant Domine. Chargée D’Affaire (1/1)

Enfin, un emploi, depuis huit mois je suis au chômage, je retrouve enfin le plaisir de mon réveille-matin moi qui l’exécrait du temps où j’étais employé dans ce service que je croyais avoir intégré définitivement.
Je m’appelle Lida, j’ai 28 ans, mariés un , un garçon qui a deux ans.
J’ai épousé ce que l’on dit être l’homme de ma vie, Julien est tendre, prévenant me remontant le moral pendant cette période dure à vivre.
Regarder le journal, disséquer les petites annonces, aller à Pôle emploi pour systématiquement rentré déçu, la plupart du temps en pleure, j’étais à la limite de la dépression.
Et puis un jour Pôle emploi m’appelle, contre toute attente, une boîte assez près de chez nous me propose, une période d’essai pour six mois pile dans ma branche.

• Je vous présente, monsieur Louis, c’est un ancien dans la maison, il part dans quelques mois à la retraite et si vous êtes en capacité à reprendre ses dossiers, vous le remplacerez.
• Merci monsieur, je ferai tout pour être digne de votre confiance.

Ma nouvelle entreprise fabrique des pièces pour les communications téléphoniques, mais aussi pour le spatial.
Louis est presque un vieux pour moi, mais je me forme avec lui pendant trois mois.

• Lida, Louis et vous aviez rendez-vous avec un client à 12 heures pour aller déjeuner, le client que vous devez rencontrer, veut signer un contrat pour 10 000 pièces à valeur ajoutée maximum pour l’équilibre de notre fabrication donc de notre entreprise.
Louis vient d’appeler, il est alité, rendez-vous au restaurant comme prévu, j’ai toute confiance en vous, vous saurez par tous les moyens possibles faire signer ce contrat à notre client.
Une dernière chose l’avenir au sein de notre boîte d’un grand nombre de personnes dépend de vous Lida.
• Si vous trouvez que j’ai des chances de réussir cette affaire, vous ne serez pas déçu.

Le restaurant où je dois me rendre est près de mon domicile, j’ai quelques affaires sexy, que je mets hors de notre entreprise, je prends une douche me maquille, me parfum et je suis à l’heure devant le restaurant.



• Louis n’est pas là !
• Non, il est indisposé, je suis son adjointe, c’est moi qui reprends le dossier, je suis bien informé, je l’ai préparé.
• Entrons, nous allons parler de tout cela à l’intérieur.

La salle est agréable, je pense avoir mis tous les atouts de mon côté, mais je sens une certaine réticence à travailler avec une femme.
Nous commandons, je bois de l’eau, il voulait prendre du vin, j’aime le vin, mais j’ai tendance à devenir exubérante quand j’ai bu même légèrement.

• Parlons de ce contrat pour 10 000 pièces, dans votre esprit pensez-vous que vous allez signer !
• J’hésite, vous savez, j’ai une autre société susceptible de nous fournir, j’ai déjà travaillé avec eux et ils sont fiables.
• Alors pourquoi avoir pris contact avec nous s’ils sont fiables, j’ai l’impression que vous me cachez certaines choses ?
• Vous avez raison, j’ai eu une embrouille avec la propriétaire de la société, disons que dans cette boîte, c’est elle qui s’occupe directement des contrats, nous avons eu une liaison qui s’est mal terminée.
• Je ne vous en demande pas plus, je comprends quand dans nos métiers, nous sommes proches, ce genre de chose arrive.

Sans m’en rendre compte, sa main étant posée sur la table, j’avance la mienne et je lui prends les doigts.

• Je vois que vous êtes mariée, votre mari a de la chance d’avoir une femme aussi joie et dynamique que vous.

J’enlève prestement ma main, me rendant compte de l’indécence de mon geste.
D’un coup mon esprit s’évade et si je me levais, si je contournais la table, m’agenouillant pour lui sortir la queue et le sucer.
Un voile passe devant mes yeux, je n’ai jamais sucé la bite d’un homme même celle de Julien, deviendrais-je une pute simplement pour un contrat.

• Vous pouviez laisser votre main, il n’y a pas d’ambiguïté entre nous, je respecte les femmes mariées.
Bien, un dernier souci, j’avais parlé avec Louis de 10 000 pièces, j’ai analysé la réalité de nos besoins et je signe tout de suite pour 8 000, sinon je mets ma propre entreprise en pérille.

Nous passons une mauvaise passe, si la conjoncture s’améliore et que cette commande se passe bien, j’aurais de bonnes nouvelles pour vous.
• Va pour 8 000, j’espère que nous nous reverrons, j’ai très bien dîné, je vais être franche, j’espère que cette commande sera suffisante pour mon patron, il semble que nous aussi nous passions des moments difficiles.
• Avec cette crise démarrée en 2008, nous souffrons tous, merci du bon moment que nous venons de passer.

Je repasse à notre logement, je me verrais mal donner l’impression à mon patron que c’est une salope qui a rencontré son client.
Client, ce mot me fait rire, une pute rencontre son client pour gagner sa vie, comme chargé d’affaires, il faut être un peu pute pour enlever un contrat.

• C’est parfait, je ne vous avais pas tout dit, 5 000 pièces auraient suffi pour passer le trimestre positivement, 8 000 c’est plus que je n’espérais, je savais que votre client avait quelques soucis en ce moment, mais je sais aussi que s’il s’est engagé, il tiendra parole.

Je garde ma place, il me donne même une prime, je vais vous faire une confidence, le soir u lit avec mon mari, je fais ce que je n’ai jamais fait.

• Chérie, où vas-tu sous les draps, chérie tu me suces, j’en ai toujours rêvé.

Je l’avais imaginé au restaurant, je le fais pour la première fois dans notre lit conjugal, il faut peu de chose pour être heureuse surtout que mon homme est très satisfait et dans les jours suivants nous parlons même d’avenir.
Pourquoi ne pas imaginer donner une petite sœur à Romain notre fils ?

Dans les semaines suivantes, Louis toujours absent, je démarche d’autres nouveaux clients susceptibles de nous donner du travail, je pars pour Bordeaux rencontrer une femme d’entreprise qui a besoin de composants que nous pourrions fabriquer en modifiant un modèle existant, nos ingénieurs sachant le faire.

• 2 000 pièces, cela vous irait !

La rousse flamboyante qui me reçoit dans son bureau est directe, elle m’annonce ce chiffre, détrompez-vous 2 000 c’est par mois et pour une durée de deux ans au minimum, avec une clause de revoyure au terme de ce contrat.


• Bosser, j’aime, mais prendre un peu de plaisir, c’est mieux, tu es descendu à quel hôtel !
• Près de la gare.
• Ton patron est loin d’être généreux, ces hôtels sont des lits à punaises, nous allons passer chercher tes affaires et tu coucheras chez moi,aucune inquiétude, aucun mâle à la maison.

Le tutoiement que je laisse passer ajouter à la manière qu’elle a de prononcer le mot mâle aurait dû m’alerter, mais nous passons à l’hôtel, la chambre étant réglée directement par la boîte, nous repartons dans sa voiture de sport.
Je passe le temps du resto, la seule chose que je remarque, c’est le regard intense qu’elle me porte, j’ai l’impression d’être déshabillé par son regard.
En sortant, elle me prend la main, son contact me plaît, j’ai l’impression d’évoluer dans un nouveau monde, elle me conduit dans un bar proche, si j’avais des doutes sur Véronique, ils seraient vite balayés, à l’intérieur seulement des filles, rapidement nous sommes entourées par plusieurs d’entre elles.
Et que je te bise à droite et que je bise à gauche, une main dans les cheveux de l’une puis de l’autre, elle est ici chez-elle, je sais que je viens de tomber dans les pattes d’une parfaite lesbienne.
Rien ne m’ennuie, dans mes pensées, faire l’amour avec une femme ne me semble pas tromper mon mari qui doit dormir avec mon fils à ma place, ils font toujours cela quand je les quitte.
Je n’ai jamais essayé les amours féminins, même si quand j’étais jeune Élodie, ma copine m’a fait des avances que j’ai tranquillement repoussées, sucer la bite de mon mec étant déjà une nouveauté pour-moi.
C’est dans le bar qu’elle me passe une main aux fesses, je me laisse faire, j’ai compris que j’avais signé un contrat à long terme qui va plaire à mon patron, pourquoi la braquer surtout quand j’ai envie de me faire brouter la chatte…

Je viens d’arrêter de fantasmer, nous sommes nues dans sa chambre, je suis à moitié allongée sur son lit, je vois sa crinière rousse venir vers moi et en quelques secondes mon clitoris est aux anges.

Je jouis facilement à l’introduction de la queue de Julien, là c’est différent, l’onde qui me submerge monte et descends avant d’éclater comme le ferait un feu d’artifice.
Mes seins, elle ne les oublie pas alors que dans mon ménage, ils sont les grands oubliés.
Bref après lui avoir donnée bien du plaisir, du moins c’est ce que je ressens, nous nous endormons avant que le lendemain, elle ne me raccompagne à la gare.
Je roule dans le TGV vers Paris forte d’une expérience nouvelle.
Mes hommes me retrouvent avec grand plaisir, je n’ai pas assez de place sur mon visage pour que leurs deux bouches m’embrassent, je suis aux anges, je m’éclate au travail rompant la monotonie qui s’installait dans ma vie, d’autant plus que devant moi, j’ai une grosse prime que mon boss m’a donnée pour mon bon travail.

• Bonjour Lidia, je suis content de te retrouver depuis notre première rencontre au restaurant, il y a plusieurs mois, je t’avais promis de faire appel à toi si la conjoncture se retournait, c’est le cas.
• Moi aussi je suis content de te revoir.
• Donne ta main, j’ai toujours regretté d’être parti en l’ayant lâchée la dernière fois, où veux-tu aller, mon hôtel est en face.
• Je te suis.

20 000 pièces de signées, je sais, je viens de devenir la pute à qui j’avais pensé l’autre fois, pour la petite fille, nous verrons plus tard, il faut battre le fer quand il est chaud, mon cul semble plaire, cela n’est pas à cinquante ans que je signerais de tels contrats, d’ici là j’espère bien avoir acquis assez de bien pour passer une vieillesse tranquille avec tout mon petit monde.
De nombreuses personnes sont dominés par un tiers, moi c’est mon travail qui me domine de peur de retrouver ma situation entérieure.

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